Chercheur : Marc Henry (Professeur des universités, Docteur ès-Sciences)
Marc Henry est habilité à diriger les recherches, chimiste et physicien il est aussi l’auteur de plus d’une centaine d’articles scientifiques. Il a pratiqué et enseigné la physique quantique pendant plus de trente ans.
Expertise commandée par la SA Dynamized Technologies le 29.08.2019


Procédé : Les images électrophotoniques du laboratoire Coramp à Brens en France ont été analysées et interprétées par une expertise du professeur Marc Henry après retraitement mathématique & statistique (via des algorithmes) afin d’améliorer leurs contrastes.
Le retraitement se concentre, après avoir éliminé les « bruits de fond » de l’image, les saturations, artefacts etc…, sur les intensités moyennes de lumière photonique, sa répartition équitable ou pas, sa diversité & sa richesse d’information, etc…. Ceci afin de ne retenir que les images statistiquement les plus représentatives (fiable à 95%!) et procéder à des interprétations comparatives plus approfondies et globales entre l’eau dynamisée et non-dynamisée en termes de « quantité » d’énergie et de « qualité d’information » (énergie focalisée), soit son indice de photodiversité (que par analogie avec l’écologie on peut appeler biodiversité).
Cet indice est l’interprétation de l’empreinte digitale de l’eau (profil photonique). Cet indice se calcule en fonction de différents paramètres qui évaluent qualitativement les photons captés en fonction des contrastes entre pixels (plus il y a de contrastes, plus l’énergie est focalisée !), leur diversité (soit la richesse de l’image qui est fonction de la différence d’intensité moyenne des pixels), la quantité d’information contenue dans l’image, la répartition équitable de la lumière, la cohérence des fréquences émises, leur amplitude etc. A cet égard on peut penser que plus cet indice est élevé, plus cela indique une compatibilité avec le vivant de façon générale.