Bioélctronique de Vincent - Sylvie Henry Réant
How Antioxidants Work On Free Radicals

Analyse BEV (Bioélectronique de Vincent*) en utilisant des électrodes étalonnées Hanna Instruments et les formules du professeur Joseph Orszagh chercheur à l’Université de Mons-Hainaut en Belgique) réalisée par Sylvie Henry Réant, Ingénieur Chimiste ENSCP, Master 2 Biologie, à Rhode Saint Genèse (Belgique) le 19.05.2020 *Louis Claude Vincent: Ingénieur hydrologue et diplômé de l’École supérieure des travaux publics en France

L’analyse BEV (Bioélectronique de Vincent) confirme que le Biodynamizer va avoir un réel impact sur l’eau en la rendant plus réductrice & plus biocompatible. Sur base des paramètres mesurés lors de l’analyse BEV on peut dire que le Biodynamizer:

  • réduit très significativement le potentiel d’oxydation de l’eau (observé en Bioélectronique de Vincent par la baisse substantielle du facteur rh2 dans l’eau dynamisée. Mesure qui procède de l’évolution de la valeur pH, qui ne varie pas, et de la valeur du potentiel redox (potentiel d’oxydo-réduction) qui diminue fortement) => L’eau dynamisée est réductrice car elle a été ionisée (sa charge électrique a changé principalement par l’effet du magnétisme). Elle possède dès lors plus d’électrons disponibles (qui sont électronégatifs), voir les conclusions identiques à ce sujet dans l’analyse spectrométrique par le Bioscope (baisse de la phase spectrale dans l’eau dynamisée), qui peuvent être cédés dans le milieu constitué de minéraux inorganiques (en son sein) et organiques (qu’elle entoure). On peut dès lors penser que l’eau dynamisée peut contribuer à réduire l’oxydation de l’eau et donc du corps,
  • augmente le surplus d’électrons disponibles dans l’eau et participe donc à combattre les radicaux libres (étant donné que l’eau dynamisée est réductrice, elle possède plus d’électrons « libres » autour de la molécule d’eau qui sont dès lors susceptibles d’être « donnés », ce qui va rééquilibrer les radicaux libres* et donc les neutraliser. *atomes instables en raison de la présence d’un électron non apparié/célibataire sur la couche extérieure de l’atome de la molécule. Ils oxydent le corps et provoquent la dégénérescence des cellules = vieillissement cellulaire,
  • devrait permettre de mieux métaboliser les nutriments et favoriser la détoxination cellulaire. Les études sur l’influence du magnétisme sur l’eau ainsi que ses qualités réductrices, nous permettent de supposer que lorsque l’eau bénéficie de plus d’électrons disponibles à charge électronégative qui entourent les nutriments (minéraux organiques et inorganiques), devrait générer une différence de potentiel entre le milieu extra cellulaire (positif) et intra-cellulaire (négatif) ce qui devrait contribuer (avec la différence de gradients de concentrations d’ions) à actionner l’ouverture/fermeture des canaux ioniques transmembranaires (qui sont voltage dépendants) et donc favoriser l’entrée des nutriments à l’intérieur des cellules et la sortie des déchets métaboliques à l’extérieur des cellules (Les professeurs Heidelbergois Neher et Sakmann, prix Nobel de la médecine 1991, par leur méthode de patch clamp démontraient dans les années ’80 que le métabolisme fonctionnait à travers des canaux ioniques transmembranaires ayants des potentiels différents),
  • transforme la forme ionique des minéraux inorganiques (soit des atomes électriquement chargés qui sont en solution dans le liquide) en forme colloïdale (soit des solides électriquement neutres dont la structure change: ils précipitent, s’agglomèrent, deviennent plus gros, de 10 à 1.000 nm, et sont en suspension dans le liquide) ce qui devrait faciliter leur évacuation plutôt par les selles (intestins) que par l’urine (les reins et éviter de surcharger ceux-ci). Les minéraux sous forme colloïdale passent en effet nettement moins facilement la barrière intestinale (de 10 à 50 nm probabilité faible mais non nulle de passage par effet tunnel),
  • préserve nettement mieux l’énergie dans l’eau dynamisée (en réduisant la dissipation de l’énergie, voir aussi à ce sujet l’analyse électrophotonique qui atteste cela !)

Explications des résultats obtenus lors de l’analyse :

  • Facteur rH2 de l’eau du robinet de Rhode Saint Genèse (Belgique) non traitée = 36,3 -> 29,7 pour l’eau du robinet dynamisée soit une baisse exponentielle de l’oxydation de l’eau de 6,6 unités (dont +/-4 pour le Biodynamizer et +/- 2,5 pour le biofiltre) ou 10-6,6 ou pratiquement 4.000.000 de fois moins oxydante! Le rH2 (qui quantifie l’activité de l’électron dans l’eau* et caractérise l’aspect oxydant ou anti-oxydant de l’eau, et qui se calcule à partir d’une électrode spécifique), est calculé sur base des mesures du pH = 7,6 (robinet) -> 7,5 (dynamisée), de la température (13,5°C: robinet dans la cave -> 16,5°C: eau dynamisée dans la cuisine), et du potentiel redox = 385,2 mV (robinet) -> 209,5 mV (dynamisée) = différence de potentiel mesuré par un voltmètre (il est généralement admis que plus l’ORP est élevé plus la solution est « oxydante »; plus il est bas plus la solution est réductrice ou « antioxydante »), la conductivité restant inchangée à 750 µs/cm ; Analyses répétées toute une journée avec mesures toutes les 3 minutes et avec étalonnage des appareils, sans pollution électromagnétique ; équilibre idéal selon la BEV= pH 7 & rH2 ≤ 28 *André Fougerousse (Professeur de Chimie honoraire de l’Université de Strasbourg et ancien Directeur de la Faculté de Chimie de Strasbourg (1999-2004)), dans un article dans le Bulletin de l’Union des Physiciens en 1996 « Le rH2 est une grandeur thermodynamique non ambiguë qui permet d’identifier les seuls échanges d’électrons dans une phase aqueuse, contrairement au potentiel classique E, qui est pollué par les échanges de protons »
  • La quantification énergétique de Vincent (W de Vincent = puissance dissipative de l’eau en termes d’énergie, fonction de sa conductivité, du pH et du rH2) passe de 400 µW/cm3 pour l’eau du robinet non traitée à 180 µW/cm3 pour l’eau du robinet dynamisée. Ce qui signifie que l’eau dynamisée préserve mieux l’énergie ce qui sera favorable pour le fonctionnement cellulaire (voir à ce sujet l’importance du voltage membranaire).

Importance d’une eau réductrice pour combattre les radicaux libres qui oxydent le corps:

  • L’oxygène (la respiration), une inflammation (la chaleur ou la douleur suite à une infection ou autre), ou le stress oxydatif (provoqué par l’alcool, le tabac, la nourriture « industrielle », …) peuvent entraîner la production de radicaux libres. Ceux-ci sont des molécules instables auxquelles il manque un électron et qui viennent se rééquilibrer en les volant à nos autres cellules (stables). En recherchant cette stabilité électronique et en récupérant 1 électron dans nos cellules, ce radical libre oxyde celles-ci ! Lorsqu’une cellule est oxydée, cela provoque un vieillissement prématuré de tout notre corps et cela peut provoquer certaines maladies ou vieillir prématurément la peau.
  • Seules des molécules ayant des électrons qui peuvent être facilement mobilisés (molécules antioxydantes) sont capables de neutraliser les radicaux libres (en leur transférant un de leurs électrons libres ce qui va les rééquilibrer). Les antioxydants permettent à nos cellules d’éviter de dégénérer et rester saines. Les fruits et légumes contiennent une grande quantité d’antioxydants lorsqu’ils sont bio et fraîchement cueillis.  L’eau dynamisée réductrice peut avoir le même effet. La mesure du facteur rH2 permet de quantifier la qualité réductrice de l’eau.